Nous avons pris du retard : ok ! Mais c’était sans compter que notre tout nouvel ordinateur nous lâche entre les mains… Et oui, notre superbe outil Asus utra-léger n’est plus. Nous avons bien galéré pour pallier ce problème : après 70$ et 5h d’attente, nous apprenons que la carte mère est morte. Après une réflexion désespérée et entrecoupée d’auto-flagellation, nous achetons finalement un nouveau pc, avec un superbe clavier español (si si avec la touche ñ). De nouveau équipés mais allégés de quelques dollars…
Face à toutes ces émotions, nous avons oublié de vous dire : nous avons récupéré Marie-Flore pour 8 jours ! Et celle-ci a déjà bien amorcé son immersion. Après s’être fait voler son portable et avoir traîné la police pour l’aider, celle-ci l’a finalement retrouvé et simplement fait agenouiller ses deux larrons afin de s’excuser : la belle histoire !
BREF ! Nous voilà donc partis pour le nord de Quito.
Nous avons choisi une auberge qui se situe sur la Plaza de los Ponchos, vrai cœur névralgique de la ville. En effet, celle-ci est animée au quotidien par un marché artisanal, qui se transforme en véritable foire le weekend et sur lequel les filles ont pu s’attarder quelque peu. De là, nous avons pu rayonner dans les alentours.
Nous avons randonné en faisant une boucle par les villages avoisinants et avons pu apercevoir : 1) l’arbre centenaire et sacré « El Lechero », 2) le Parque Condor, dans lequel on retrouve le fameux « Condor », oiseau andin pouvant aller jusqu’à 3,50 m d’envergure, entre autres chouettes et aigles de la région, et…
… 3) la cascade Peguche depuis laquelle nous avons fait la connaissance de trois équatoriens qui se dirigeaient vers la « fiesta » du village du coin pour célébrer, déguisés, la fête du soleil, danser et déjeuner.
La seconde randonnée, plus sportive, nous a permis de faire le tour de la lagune de Cuicocha par les crêtes. Nature, points de vue magnifiques et tests cardiaque et respiratoire à l’ordre du jour !
Par la suite, nous avons tranquillement visité la ville d’Ibarra à base de street kitchen, cantine locale et glaces artisanales et avons terminé notre séjour nordique par le marché aux bestiaux d’Otavalo, dont les cris stridents des cochons et les cages à chattons nous ont quelque peu refroidi.
Côté cuisine, le fameux poulet-riz-patates est toujours de rigueur au grand damne de Léa mais nous avons trouvé quelques alternatives sympas et la street kitchen a apporté un peu d’authenticité à nos repas.
Nous partons ainsi pour le centre du pays avec en prévision quelques bonnes randos et du dénivelé à grimper !
Trop chouette.!! c est comme ds les reportages… trop stylés les fetes de village. et les paysages… pfiou!! C est cool de vous voir les girlz